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FIXATIONS §1: une histoire de talon libre

Ce genre de fixation est celui des origines du ski que ne ferons d’ailleurs, qu’effleurer lors du 1er chapitre.
Notre histoire ne commencera vraiment qu’au 20ème siècle qui sera scindé en 3 : début, milieu (années 30 à 60, puis fin du siècle après les années 60 en débordant un peu sur le 21ème.
 Nous avons vu au §0, que l’avant pied est le point clé de ce type de fixation car il doit…
rester fixe pendant la progression (pas de soulèvement, ni de ripage, ni de recul).
…plier pour assurer la propulsion
…avoir une rigidité latérale pour assurer le guidage.

la chaussure

Elle doit avoir une semelle souple pour pouvoir plier au niveau de la base des orteils. 

Une semelle rigide ne permet pas le fonctionnement du reflexe anti-chute AV (et c’est la même chose avec une fixation articulée devant les orteils !)

Le bridage

Nous avons donc compris que la liberté du talon complique énormément le guidage du ski qui ne dépend donc que de l’avant-pied : il faut un bridage qui l’empêche de se soulever, d’avancer ou de riper latéralement (bridage d’orteils) ; c’était obtenu par lanière puis, plus tard, par étrier métallique nettement plus efficace.

Il faut aussi que le pied ne puisse pas reculer : pour ça il y a eu plusieurs systèmes : le  plus courant est une bride qui passe derrière le talon (bridage talonnier) et qui pousse donc la chaussure; mais il y a aussi des systèmes qui s’en passent en la tirant vers l’avant.

Mais, malgré ça, la tenue latérale du talon est le point faible de (presque) toutes ces fixations nordiques.

A- Avant le 20ème siècle

L’origine du ski remonte à la préhistoire comme le montrent les gravures rupestres datées de plus de 9.000ans, et le plus ancien ski retrouvé a été daté de 3.500 ans . 

C’était toujours du ski de plaine ± vallonnée, terrains peu exigeants pour la tenue du pied.


Avant l’ère industrielle, bouclerie, clous ou vis n’étaient guère utilisés et le bridage passait par des trous dans le ski : trous verticaux d’abord (fixations dites « 4 trous »), puis transversaux dans l’épaisseur du ski (mortaise).

 

• La bride d’orteils pouvait être la seule présente, par exemple en Laponie jusqu’au 19ème siècle : la chaussure portait un retour avant qui l’empêchait de sortir par l’AR.

• Mais une bride talonnière est rapidement venue pour empêcher cette sortie par l’AR avec des chaussures standard; cette bride était généralement en cuir, mais il y a eu de l’osier tressé ou de la baguette de jonc. 


Exemple 1 : la fixation « 4 trous » du ski de Kalvträsk (-3.200 ans) décriteet reconstituée par Maurice Woehrle.










Exemple 2 : les fixations jonc/cuir qui ont disparu  dès le tout début du 20ème siècle.
Note : l’ouvrage de référence pour ces fixations archaïques est le livre de M.Woehrle => « Les peuples du ski – 10000ans d’histoire ».

B- Début du 20ème siècle (avant les années 30)

La pratique  

« Faire du ski », c’était obligatoirement, faire du « ski  nordique » du fait de l’absence de remontées mécaniques : c’est la seul pratique alors connue car ce sont les norvégiens qui, sauf exception*, étaient la référence mondiale ; maintenant, nous la qualifierions de « randonnée nordique » mais à l’époque on parlait de « course » (même pour la simple promenade) ; l’autre pratique était le saut qui se faisait avec le même matériel !


Pour aller à plat ou monter (un peu), pas de problème : c’est de la marche en glissant les skis ! Mais pour la descente, ça se corse : beaucoup font des « tout droit / chute / tout droit / chute » etc… ; ceux qui savent un peu skier utilisent le virage chasse-neige ; le « télémark » (toujours la Norvége !) est seulement le virage de la minorité des « forts ».


Ces 2 types de virage ne sont pas gênés par la liberté du talon ; il n’en sera pas de même pour le virage « christiania* » (encore la Norvége !) qui commence à être connu et utilisé par les « forts » : on parle alors de « stemm-bogen », ou méthode dite « de l’Arlberg » enseignée depuis les années 20. Ces types de virage demandent une certaine avancée du corps, et l’équilibrage était facilité si la levée du talon était freinée et/ou limitée (voir §0)


(*) Ça s’écrit aussi « kristiania » qui est le nom d’Oslo avant 1925.

La chaussure 

Peu différente d’une chaussure de montagne ou de marche : la semelle est souple pour suivre le soulèvement naturel du talon à la marche ; la pliure doit se faire à la base des orteils (derrière l’étrier).

Le bridage 

Antérieur (orteils)

La caractéristique commune est la présence d’étriers métalliques, étriers dont le règne ne cessera guère avant les années 60. 
Ils adoptent un « V » ± ouvert vers l'AR bloquant ainsi la chaussure vers l’AV; une bride relie les 2 joues pour empêcher le soulèvement du bout de la chaussure.

Talonnier

La lanière de cuir règne en maître et sa qualité fait celle de la fixation !  

• Le bridage standard 

La chaussure est POUSSÉE dans l’étrier et la mise en tension se fait…

-   soit par une boucle LATÉRALE classique à ardillon ou, plus tard, par une boucle à levier et excentrique (ELLEFSENRIVAS etc…) qui facilitait chaussage et serrage. 

-  soit par un tendeur situé DEVANT la fixation (SigurdHoum etc…). 

  

• Les longues lanières :

Ce système, le plus simple qui ait existé depuis la préhistoire, fait appel à une lanière plus ou moins longue (1,4 à 2,2m suivant les époques) qui s’entortille et se lace autour de la chaussure : elle n’a donc besoin d’aucune vis et rivet, ni d’aucune bouclerie.


Remarque : Ne pas confondre avec les « longues lanières » qui reviendront plus tard pour fixer le talon à partir de la fin des années 30 (cf §3)

Ces fixs. feront l'objet d'un article spécial (lien ci-après)


• Cas particulier des inserts

La liaison étrier/talon fait appel uniquement à la semelle de la chaussure donc SANS BRIDE grâce à l’insertion d’une pièce intermédiaire fixée sur la semelle. 

On peut en définir 2 types :

- Les inserts complets : tout est inclu dans l’étrier, rien n’en dépasse 

- Les demi-inserts ou faux inserts : un système intermédiaire où la chaussure est TIRÉE vers l’avant par l’intermédiaire d’un crochet mais nécessite un étrier classique pour empêcher son soulèvement. (demi-inserts à voir ci-après).


Note: ces fixs à insert seront détaillées ultérieurement (lien en fin d'article).

Les principaux genres de fixations

Nous ne nous attacherons qu’aux principes de leur fonctionnement et seulement pour les plus répandues et/ou les plus innovantes. 

1) Étriers dans une mortaise : la fixation Huitfeldt*

Elle nait en Norvège, vers 1894 et va rester dans les catalogues jusqu’au début des années 30 où elle sera la fixation rustique, fiable et bon marché.

L’étrier est glissé à plat dans la mortaise puis ajusté au marteau !  La lanière latérale passe aussi dans la mortaise et au début, il s’agissait souvent de « longues lanières ».
Ce sytème mortaise/étrier va être ensuite repris par de nombreux fabricants et souvent avec d’autres système
s de bridage. 

     (*) l’orthographe Huitfeld (sans « t ») est aussi largement utilisée.


2) Étriers vissés monoblocs :

Rares et contemporains de la Huitfeldt, ils n’ont guère dépassé le cap des années 10 et ont été peu diffusés. Le réglage de la largeur se faisait aussi à coups de marteau. 



<=Exemple
 : la fix. BEAUCLAIR dont la lanière est fixée DEVANT l’étrier, limitant ainsi les contraintes sur celui-ci (fin 19ème, début du 20ème)


3) Étriers vissés séparés :

 Chaque joue de l’étrier était indépendante et, gros progrès, leur angulation pouvait se modifier pour mieux épouser le bout de la chaussure ; mais il fallait un démontage partiel pour ce réglage.

Ce système a été largement majoritaire pendant toute la période des années 20 à 40.

 

La fixation ALPINA (début des années 20) a été la plus connue, d’autant que le nom (et la licence ?) ont été repris 10 ans plus tard, par Attenhofer ; mais il y eu de très nombreux dérivés et/ou copies et/ou améliorations (probablement une centaine de modèles rien qu’en France !).

On peut toutes les regrouper sous l’appellation générique de « genre Alpina ».


Quelques unes avient un système de réglage des étriers facilement accessible sans démontage et souvent très astucieux (SESSELYRUCHSERFALISSE, GEZE, etc…).





4) Bride talonnière à tendeur AV

Assez répandues, par exemple :

• Celles à levier vertical : SIGURD (N), HOUM, WEBER et NIVEA (CH), BERNARD et TOR (F), INGAB (D) etc…

•  La KOSKI (CH) à levier horizontal.

<=Exemple : l’originale SESSELY (CH-1907) à câble (partiel) dont c’était la 1ère apparition, 30 ans avant le brevet Reuge de la Kandahar.


5) étriers articulés

L’avant de la chaussure n’est plus obligé de plier ; mais, gros inconvéniant, l’équilibre vers l’avant n’est plus assuré par les orteils (cf article précedent). Aussi, les rares fixations existantes ajoutaient-elles un fort ressort pour freiner le mouvement. 

Exemple: la MÜLLER (1903) et enfin la SCHUSTER (1919) =>




6) Fixations dites « à semelle »


Le bridage latéral est remplacé par une semelle souple sur laquelle est fixée un support talonier. Cette semelle double donc celle de la chaussure et utilise différentes matières: du balata* puis, plus tard, du cuir ou une forte courroie textile.

 Le réglage de la longueur se fait par dépose/repose de la semelle (plutôt contraignant !). 

Le terme « fixation BALATA » est souvent utilisé (génériquement et à tort !) pour ce genre de fixation à semelle souple. 

L’empeigne talonnière pouvait être remplacée par un petit étrier métallique (fix. ELLEFSEN).

(*) balata : genre d’hévéa qui donne une sorte de caoutchouc très résistant utilisé à l’époque pour les courroies industrielles.

=Cas particulier des semelles métalliques :

Elles sont étudiées en détail dans un § spécial (lien en fin d'article).

Ces fixations autrichiennes sont vraiment remarquables car elles sortent de la "pensée unique" de l'époque (norvégienne), et qu’elles ont existé de la fin du 19e siècle jusqu’au début des années 30 ; mais elles ont été quasi ignorées en France!

Il s’agit de la fixation «ALPENSKI» (dite «LILIENFELDT») et de son dérivé : la célèbre «BILGERI». La rigidité de la semelle entraîne une tenue latérale tout à fait inconnue à l’époque : elle permettait donc de tenir dans un dévers même raide.


Ces fixations sont considérées comme les 1ères fixations de ski alpin et préfigurent les fixations de randonnée dites « à plaque » de la fin du siècle.

=Cas particulier des fixations à insert

Elles sont étudiées en détail dans un § spécial (lien en fin d'article).

Il s’agit toujours de fixation à semelle, mais c’est celle de la chaussure qui est utilisée: donc il n’y a plus aucune courroie.  

Les demi-inserts: 

Il s’agit de fixations avec un étrier ; pour s’y coincer, la chaussure est tirée en avant grâce à un levier sur le ski et un crochet fixé à la semelle. 

Par exemple :

-       la BBB (CH-1923) et la BEETSCHEN (qui se ressemblent) 

-       les rares  BÄCHTOLD  et KOLARIK (CH)

-    la française POPULA PLIN-UP 

 

Les inserts complets (dits "vrais"): 

Il'y a plus aucun bridage

<= La première connue semble être la française COUTTET de 1905.


Plus tard, dans les années 20, nous trouvons par exemple :  
    -        la rarissime OTTO SCHMIDT (CH)
    -        l’originale SCHIESS AS (CH)
    -        la classique BERGENDAHL (N)
    -        la française FOUCHARD

7) Fixations à cadre

À cette époque, elles étaient rares : la lanière talonnière en cuir est remplacée par des matières + rigides : le métal remplaçait le jonc. 


Par exemple :


• La fixation AUSTRIA (Autriche 1907) c’est une MÜLLER à cadre « fil de fer « pivotant. Noter le ressort de freinage antérieur.

• Les fixations TELLEFSDAL (Norvège – 1917). Plusieurs fabriquants jusqu’aux années 40. Cadre articulé indépendant de l’étrier espectant donc la pliure de la semelle.


C- Milieu du 20ème siècle (années 30 à 60) 

C’est l’époque charnière où la différentiation nordique/alpin a vraiment débuté et n’a fait que s’accentuer dans l’après-guerre. 

Les pratiques 

La méthode de ski française a entraîné la nécessité d’avoir un talon fixable pour la descente : ça sera l’objet du §2.

Le ski purement nordique, lui, n’a pas cette contrainte mais, à cette époque, il est très peu répandu car limité aux compétitions de fond et de saut.

Les chaussures


Toujours en cuir, mais cette fois, on voit apparaître de la spécialisation:

-       - Pour l’alpin : la semelle commence à se rigidifier et à porter des renforts latéraux protecteurs. C’est le début des  tiges plus hautes et du double-laçage (années 50).


-       - Pour le nordique : la tige reste assez basse et la semelle très souple : donc pas de différences nettes avec celles du début du siècle.



Le bridage

C’est la grande nouveauté de l’époque avec le développement de la dualité « parallèle / diagonale » (voir §2). 

• Parallèle = talon toujours libre : c’est la continuité des années précédentes et le seul genre de fixations que nous allons étudier ici.

• Diagonal = fixation du talon par abaissement de l’attache de la bride talonnière. Position utilisée pour la descente: il s'agira donc de fixations à talon fixable pour le §2

Les anciennes fixations

Il s’agit de la plupart de celles des années 20 qui sont restées sur leur système parallèle permanent.

1) Celles du genre ‘Alpina

Au début des années 30, elles resteront sur le marché et le domineront, d’autant que la marque a été rachetée par Attenhofer et bénéficiera de son artillerie lourde publicitaire (ça ne l’empêchera pas de perdre sa « gueguerre » avec Reuge pendant la vraie (voir §2).

2) Évolution des anciennes « standard ».  

Beaucoup sont maintenant présentées dans les publicités, comme fixations nordiques. 

Exemples: 

• La BERGENDHAL qui devient spéciale « …pour ski de saut » et «… pour courses (voir article spécial

• La GRESVIG des années 20 qui change de nom et devient « Loïpe » (« circuit » en norvégien).


3) Quelques erfectionnements …

- Rigidification de la courroie talonnière

Apparus à la fin des années 20 mais ne se sont répandus largement qu'un peu + tard. 
Deux principaux :

• le talon JORDELL, rigide, qui améliore (un peu) la tenue.

• le talon BILDSTEIN à ressort, pour améliorer (un peu !) la sécurité.


 

- Étriers réglables sans démontage

Exemples: la GEZE Silverking (CH-1932), la NORGA et la TANGVALD (F- début années 30)

La fixation PAX (F – 1930) ci-dessous


- Taquets d’orteils de l’étrier

À partir des années 40 la bride cuir habituelle, peut être remplacée par des taquets réglables coinçants la semelle : c’est facilité par ses protections métalliques latérales.

 

 

- Étriers de sécurité:

Seulement 2 connus en France: le D.R. et le KIENER (F-1936).
Le DR a ses 2 étriers ouvrants et  le Kiener, un seul           =>

Les nouvelles fixations

Elles montrent l’apparition de la spécialisation « nordique » venue, bien sûr, de Norvège pour ce qui s'appellera, de + en + souvent: "ski de fond".

Caractéristique communes : elles se passent toutes de brides et peuvent être ± assimilées à des fixations à insert.

La + marquante : ROTTEFELLA (brevet Bror Wirth - Norvège)

En réalité ses débuts datent de 1928 et ses descendantes sont toujours d’actualité.

La chaussure présente un fort débordement avant de 75mm de large ; il est pincé par un levier et des picots viennent s’insérer dans la semelle (inserts !). 
C’est la 1ère mondiale d’un système combiné fixation/chaussure et il a lancé la "norme 75"  toujours en vigueur au 21ème siècle.

Remarque: en Allemagne, la marque était diffusée sous le nom de « Rattenfall ».

 

D- Après les années 60

Les fixations « talon libre » sont devenues totalement spécifiques du ski nordique.

Les pratiques

Ski sur pistes dit « ski de fond » :

Engouement après la médiatisation aux JO de 68 : le nombre de pratiquants explose.

Dans les années 80, la progression classique dite « pas alternatif », se double par la progression sportive en pas de patineur (« skating »).

randonnée nordique (Fond hors-pistes) :

C’est la continuité du ski pratiqué depuis la nuit des temps, y compris avec le retour à la mode de l’exigeant télémark qui avait quasiment disparu après les années 20.

Ski de saut

Cantonné à la compétition. Matériel spécifique (trés trés spécifique dès la fin du 20ème siècle).

Les chaussures  

Se spécialisent de plus en plus :

- Pour le fond : chaussures basses en cuir et/ou plastique et/ou toile et/ou en caoutchouc

- Pour la rando : chaussure à tige plus haute, mêmes matières.

- Pour le télémark, elles se rapprochent de + en + des chaussures de rando alpine (cf §2)

Exemple : 4 chaussures nordiques norme 75 des années 80-90.


Les fixations

Ski de fond classique

La norme 75, majoritaire au début de la période, disparaît presque totalement dans les années 80/90. Elle a fait place à plusieurs autres, car chaque fabriquant en a une qui nécessite obligatoirement SA chaussure : le pratiquant est donc devenu « captif » de la marque.
Mais gros avantage : la tenue latérale est nettement améliorée et le skating est facilité.
Exemples :

• Adidas lance la mode en France en 1972.

• Rottefella a sa « NNN BC » (New Nordic Norm Back Coutry) et aussi une « Norme 50 »

• Fischer a aussi sa « NNN » et une « BCX »

• Salomon  a sa « SNS » (arrêtée en 2015)

• Rossignol a sa « RNC »                               etc……


Randonnée nordique et télémark

C’est là que la norme 75 fait de la résistance et, en fin de siècle, devient spécifique de ces 2 pratiques.
Mais les inserts « LowTech » font leur apparition après 2010 sans pour autant évincer l’ancienne. À la même époque, Rottefella lance sa norme "NTN" adaptée à la rando.

Saut

Peu de différences au 20ème siècle avec les standards à étrier et câble. Les normes 75 et NTN peuvent aussi s’adapter au saut.

Exemple : cette fixation des années 90 (norme 75)

Mais dans les années 10 (du 21ème) on peut voir aussi des vraies « usines à gaz » avec inserts LowTech.

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Voir les articles spéciaux sur les fixations à insert: